« On sait qu’à l’hôpital la famille participe à 50 % à la thérapie. Le patient est l’acteur principal, il y a autour de lui les acteurs du soin et … sa famille.
Dans le brouhaha des « bip bip » du service de réanimation, j’ai reçu le fiston. Il était complètement perdu. On n’est jamais prêt, de toute façon, pour la mort, même si les médecins ont précédemment fait des signes d’alerte. C’est difficile à dire, mais j’ai senti qu’il voulait que ce moment s’arrête vite. »
Crédit photo : Ph. Bizouarn