« Les usagers ont du mal à obtenir les informations de gestion »
« Je me souviens des discussions que nous avons eues avec le directeur de l’ARS à Rennes. Il n’a pas cédé, au prétexte que l’on manquait d’anesthésistes. Nous avons tout juste réussi à garder quelques vacations pour des coloscopies ou des poses de pacemaker. Les malades doivent maintenant aller à Quimper, à l’hôpital public ou dans les cliniques privées… »
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