« Aller là où l’on a besoin de nous ! »
« Je suis infirmière aux urgences pédiatriques depuis quatre ans. C’est mon premier poste. Nous avons encore la chance de pouvoir choisir notre affectation »
« Lors de la pandémie, une omerta a masqué la réalité de l’activité des services au quotidien et donc aussi des dysfonctionnements. La grande majorité des infirmières se sont interdit d’évoquer cela. Elles ont mis en avant leur devoir de réserve et ont, de fait, réactivé la relation historique de dépendance vis-à-vis des autorités médicales…
Crédit photo : Jérémy Chanchou